dimanche 28 juin 2015

Trouvailles de mai et juin

Mai et juin m'ont permis de trouver 5 livres que j'ai achetés usagés à l'Armée du Salut de mon quartier qui a une belle section librairie bien entretenue et très volumineuse. J'ai aussi reçu un livre par la poste, acheté directement de l'auteur, Start with Why

  • The Taking: A Novel de Dean Koontz : J'ai tellement aimé le premier livre de Dean Koontz que j'ai lu, Dark Rivers of the Heart , que je ne peux plus m'empêcher d'acheter tous les Dean Koontz que je trouve. Apparemment, il est un auteur très prolifique, alternant entre suspense et horreur. Mon style! The Taking est un roman d'horreur et de science-fiction, racontant l'arrivée d'extraterrestres sur terre. J'ai bien hâte de m'y plonger!
  • Le Pèlerin de Compostelle de Paulo Coelho : Le premier livre de l'auteur de L'Alchimiste . L'auteur raconte son pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle, accompagné d'un guide spirituel appartenant à la secte de RAM. Le récit tient plus du fantastique que du réalisme et j'ai du mal à y croire. Il s'agit d'un roman autobiographique mais les aventures de Coelho sont plus qu'invraisemblables.
  • The Happiness Project de Gretchen Rubin : J'ai mis ce livre dans ma liste de souhaits Amazon la veille, et j'ai trouvé ce livre pour 1 $ ! Il s'agit de l'histoire de l'auteur qui a décidé de se lancer dans un projet bonheur durant un an durant lequel elle a essayé toutes sortes de techniques pour améliorer son niveau de bonheur. J'ai commencé ce livre tout de suite et j'ai très hâte d'en savoir plus sur son expérience!
  • Océan mer par Alessandro Baricco : Je ne sais rien de ce livre, sinon que son auteur a écrit un de mes livres préférés, Novecento pianiste . Cette phrase de la quatrième de couverture m'a convaincue d'en faire l'achat : «Avec une époustouflante maîtrise, Alessandro Baricco nous offre à la fois un roman à suspense, un livre d'aventures, une méditation philosophique et un poème en prose.»
  • La nausée  de Jean-Paul Sartre : un classique que je me devais de posséder dans ma collection. Entre littérature et philosophie, l'auteur de Huis Clos nous livre chaque fois un récit qui nous porte à réfléchir.
  • Start with Why de Simon Sinek : je suis actuellement le cours Learn your why de Simon Sinek afin de découvrir ma mission de vie et c'est maintenant chose faite! Le livre phare de l'auteur était compris dans le prix du cours et je viens d'obtenir ma copie. Ce livre met en lumière que les leaders qui dirigent en mettant l'emphase sur leur «pourquoi», plutôt que sur leur «comment», inspirent les gens avec qui ils collaborent et permettent à tous de s'épanouir. Je crois que tous les dirigeants d'entreprises et les gens en management devraient lire ce livre magistral.

Quelles trouvailles avez-vous faites ce mois-ci?

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samedi 13 juin 2015

Le Cinquième Témoin par Michael Connelly


Michael Connelly est mon auteur préféré depuis que je suis adolescente. Le premier roman de l'auteur que j'ai lu était Le Poète  et j'ai tout de suite été séduite. Le Cinquième Témoin est le 23e livre écrit par Connelly, est c'est le 23e que je lis.

Le personnage principal des romans de Connelly est Harry Bosch, qui a obtenu cette année sa propre série télévisée parue sur Amazon Prime. Cependant, un nouveau héros a fait son apparition depuis quelques années et ce roman lui est dédié. Il s'agit de l'avocat dans la Lincoln, Michael Haller. Ce personnage a fait l'objet d'un long métrage mettant en vedette intitulé La défense Lincoln , tirée de son premier livre et l'acteur choisi pour l'incarner était nulle autre que Matthew McConaughey

Dans ce 23e opus, Michael Haller, surnommé Mickey, survit à la crise économique américaine en représentant des propriétaires de maisons victimes de la crise des reprises de finances. Sa première cliente se voit un jour accusée d'avoir tué le banquier qui a repris sa maison. Elle est reconnue publiquement pour diriger un groupe d'activistes qui se bat contre les reprises de finances abusives en Californie. Les preuves sont lourdes contre elle, mais Mickey Haller est prêt à prendre sa défense, avec l'aide de sa nouvelle équipe. 

En temps normal, Haller s'en tient à sa résolution de ne jamais juger de la culpabilité de ses clients. Il préfère ne pas savoir afin de mieux les défendre, mais cette fois, pour la première fois, Mickey croit que Lisa Trammel, sa cliente, est innocente. Et pour cela, il est prêt à la défendre coûte que coûte, malgré qu'il fait face à une féroce opposante, amie de son ex-femme, Andrea Freeman. Les coups ne sont pas toujours francs et les avocats se donnent à une chaude lutte.

Contrairement aux romans d'Harry Bosch qui tiennent du roman policier classique, ce roman mettant en vedette Mickey Haller se considère plutôt comme un récit judiciaire. La majeure partie du roman se déroule en cour et nous assistons à une joute oratoire serrée et enlevante. J'apprécie particulièrement cette nouvelle formule. Nous sommes au premier plan pour découvrir la psychologie du personnage principal et la recherche de Michael Connelly est bien ficelée. Il nous démontre encore une fois qu'il maîtrise son art à la perfection. Connelly est encore une fois le maître du polar!

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mercredi 3 juin 2015

L'Histoire sans fin par Michael Ende

L'Histoire sans fin est une histoire en deux temps. La première portion de l'histoire est celle d'Atréju, en mission pour trouver un remède au mal de la petite impératrice qui est mourante. Parallèlement, le néant envahit le pays Fantastique qui disparaît à un rythme effréné. On comprend rapidement que le sort de la petite impératrice et celui du pays fantastique sont directement liés. 
Atréju et Fuchur
Atréju parcourt le pays fantastique à la recherche du remède qui guérira la petite impératrice. Il franchit toutes sortes d'obstacles et se lie d'amitié avec Fuchur, le dragon de la fortune qui l'accompagnera durant ses aventures. Atréju découvre qu'afin de sauver la petite impératrice, un enfant du monde des hommes doit lui trouver un nom. 

Entretemps, Bastien, un enfant des hommes, lit le livre couleur cuivre qui contient l'histoire d'Atréju. Il est témoin de ses aventures et constate que son histoire et celle du pays fantastique sont étroitement liées. Il est l'enfant qui donnera le nom à la petite impératrice. Au terme de la première partie, Bastien est entraîné au pays fantastique et donne le nom d'enfant-lune à la petite impératrice. 

Dans la deuxième portion du récit, Bastien réinvente le pays fantastique après qu'il ait sombré dans le néant. Il crée une forêt, un désert et fait des rencontres extraordinaires. L'enfant-lune lui a donné le pouvoir de réaliser tous ses désirs. Mais ce pouvoir a un prix, il perd chaque fois un de ses souvenirs du monde des hommes. Bastien est en quête de retrouver son monde et de trouver par le fait même son humanité. Une aventure initiatique dont nous sommes témoins avec ravissement.

La lecture de L'Histoire sans fin m'a donné l'envie de revoir le film que j'ai écouté tant de fois quand j'étais jeune. Dans mes souvenirs, seule la première partie du livre, l'aventure d'Atréju est racontée dans le film. J'aime toujours comparer mes lectures avec les films qu'ils ont inspirés afin de voir les similitudes et les différences. 

Les lettrines qui ornent chaque paragraphe
J'ai beaucoup apprécié ma lecture de l'Histoire sans fin, malgré que je n'aie pas l'habitude de lire des romans fantastiques. J'ai trouvé que l'auteur, Michael Ende a une imagination incroyable. Chaque chapitre déborde de créatures extraordinaires, d'événements improbables et de descriptions incroyables. Chaque chapitre présentait une lettrine accompagnée d'une image mettant en scène les créatures que nous allions rencontrer. J'avais toujours hâte de découvrir la prochaine lettrine! 

J'ai eu du mal à terminer le livre, vers le dernier quart. L'histoire est si incroyable, chaque chapitre comme une course effrénée, présentant toujours de nouvelles créatures, de nouvelles réalités, ce fut comme un trop plein pour mon imagination. Comme une course d'endurance. Je suis très satisfaite d'avoir terminé ma lecture et ce livre va garder une place de choix dans ma collection comme un ouvrage phare de la littérature fantastique. Somme toute, un beau voyage!

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lundi 11 mai 2015

Trouvailles d'avril - Livres

Avril a vu l'arrivée d'une librairie indépendante tout à fait charmante à quelques coins de rue de chez moi. La Flèche Rouge possède une sélection éclectique de livres de seconde main et une collection grandissante de livres indépendants neufs. Une merveille à visiter et à revisiter!

Voici les livres que j'ai acquis lors de ma visite à la Flèche Rouge :

Soie par Alessandro Baricco

Le premier livre que j'ai lu par Alessandro Baricco était Novecento Pianiste, une courte lecture qui figure toujours parmi mes livres préférés. Soie est le roman le plus vendu de l'auteur, qui a connu un succès mondial imprévu. Je suis curieuse de découvrir ce récit qui figure au dessus de ma pile à lire!

L'Alchimiste par Paulo Coelho

Ce livre m'a poursuivi durant tout le mois dernier. J'ai lu des dizaines de suggestions de lectures spirituelles et de développement personnel et ce livre figurait sur toutes les listes. J'ai également croisé des copies du roman dans toutes les librairies que j'ai visitées, bien en évidence. Lorsque j'ai vu une copie sur les tablettes de la Flèche Rouge, j'ai su qu'elle devait rentrer avec moi.

Phénoménologie de l'esprit de Hegel

Ma passion pour la philosophie ne date pas d'hier. Phénoménologie de l'esprit est considéré comme une oeuvre majeure de la culture occidentale. Comme ma pensée rejoint facilement la philosophie allemande de ce siècle, il m'a paru tout naturel de rapporter cette copie trouvée à prix dérisoire. J'ai hâte de m'y plonger et de découvrir pourquoi cette oeuvre fût si marquante dans l'histoire de l'europe.

Risibles Amours par Milan Kundera

Je suis fan de Milan Kundera depuis que j'ai lu L'insoutenable légerté de l'être au début de ma vie adulte. La profondeur et la complexité de l'oeuvre de Kundera sait toujours me charmer. Sur le thème de la folie, ce roman m'a attiré l'oeil et est rentré sagement à la maison avec moi.

Le Pigeon par Patrick Süskind

Je crois que j'ai lu ce mini livres lors de mon 5e secondaire. Un peu absurde, un peu nihiliste, ce livre à mini prix se devait de se tailler une place dans ma bibliothèque, tout près de son grand frère, Le parfum.

L'attrape-coeurs par J.D. Salinger

Ce roman est celui qui aurait inspiré Mark David Chapman pour l'assassinat de John Lennon. J'ai toujours été curieuse de lire ce livre et je suis heureuse d'en avoir trouvé un exemplaire à la Flèche Rouge. À en lire la description, il semble que ce roman parle de mal de vivre. Il tombe dans ma pile à lire et conclut mes trouvailles d'avril.

En ce moment, je lis A New Earth: Awakening to Your Life's Purpose par Eckhart Tolle pour mon livre de développement personnel et L'Histoire sans fin pour mon livre de fiction du soir. Quelles sont vos lectures actuellement?

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lundi 18 juin 2012

Snow White and the Hunstman

Cette saison, pas un, mais bien deux films sur Blanche-Neige sont parus. Le premier, Mirror, Mirror,  une comédie d'aventure mettant en vedette Julia Roberts, et le second, un film d'action à grand déploiement intitulé Snow White and the Huntsman. C'est vers le deuxième que j'ai été attirée et je n'ai pas été déçue. 

C'est avec entorses et distortions que l'on reconnaît l'histoire originale de Blanche-Neige et de la méchante reine. Après avoir consulté son mirroir imposant, la reine vaniteuse et ambitieuse engage un chasseur pour tuer la belle et lui rapporter son coeur. Sauf que le chasseur se laissera charmer et deviendra le protecteur de la princesse à travers les bois maléfiques. 
Charlize Theron interprète la méchante reine
Monster
Blanche-Neige est interprétée par Kristen Stewart que vous connaissez probablement pour son rôle de Bella dans la populaire série Twilight. Son jeu n'est pas convainquant et pour dire ce que je pense vraiment, elle n'est pas assez sublime pour personnifier celle qui devrait être symbole de pûreté absolue. Charlize Theron, pour sa part, remplit parfaitement le rôle de la méchante reine. Elle est tout d'abord magnifique et semble vraiment vilaine et cruelle. Puis, sa transformation physique est stupéfiante. C'est à croire qu'elle aime se voir enlaidie au grand écran! Vous vous rappelez sans doute son personnage dans le film Monster, elle était méconnaissable.

Snow White and the Huntsman est définitivement un film de gars. On y retrouve de l'action, des batailles, des explosions... En tout, deux scènes du film sont plus émouvantes, pouvant plaire d'avantage au public féminin. J'ai cependant trouvé le scénario trop rapide, mal fignolé. Les décors étaient très réussis, mais le CGI était facilement détectable. 

En résumé, j'ai aimé le film, malgré qu'il ne s'agisse pas d'un chef-d'oeuvre, mais il était divertissant à souhait et sans longueur. Bon visionnement!






dimanche 17 juin 2012

Prometheus

Cette critique de Prometheus, un film que mon conjoint avait très hâte de voir suite au visionnement de la bande annonce, nous l'avons écrit ensemble car nos points de vue sur ce que nous venons de visionner se complète plutôt bien. Ridley Scott nous présente ce qui pourrait bien être le prologue de la tétralogie Alien, un opus dans lequel sont explorées de grandes questions de notre existence terrienne; d'où venons-nous, et pourquoi?

Un couple de scientifiques font la découverte d'artéfacts de civilisation éteintes de différentes époques qui présentent tous une imagerie semblable d'un groupe d'étoiles éloignées. Le docteur Holloway et sa compagnie, Elizabeth Shaw sont persuadés que dans ce système solaire lointain se trouve le créateur de l'homme. C'est à la recherche de ceux qu'ils ont surnommé les Ingénieurs que le vaisseau Prometheus est envoyé.

Bien que plutôt facile à comprendre lorsque synthétisée, l'intrigue telle que décrite dans le film n'est pas simple et laisse plusieurs spectateurs perplexe­. Pour ce qui est du scénario, il suit assez bien le modèle sci-fi classique, ce qui nous laisse sans surprise quant au développement de l'histoire. Truffé d'invraisemblances et de lacunes, la version de Ridley Scott fait également abstraction de certains faits établis par les films précédents de la franchise, notamment les exécrables Alien VS Predator. On y retrouve tout de même plusieurs clins d'oeil au premier Alien, les décors du vaisseau ennemi, par exemple, qui sont pratiquement identiques. Le personnage de Noomi Rapace est d'ailleurs une copie conforme de Ripley, campée par Sigourney Weaver, une femme bien ordinaire devenant une surfemme qui combat l'ennemi extraterrestre avec aplomb.

Certains d'entre vous se demanderont qu'en est-il des fameux extraterrestres et de leur rendu à l'écran, vous ne serez pas déçus, les créatures sont impressionnantes grâce à un CGI appréciable et réaliste. Par contre, ne vous attendez pas à un troupeau de ces êtres irréels. Les décors sont à couper le souffle, on y ressent beaucoup la participation artistique de HR Giger, qui a participé à trois des quatre chapitres de la série Alien. Comme dans tout bon film de science-fiction, on y retrouve quelques scènes gore très prenantes.

Malgré que plusieurs questions restent sans réponse, la fin laisse présager une suite. Divertissant quoi que parfois long, Prometheus ne vaut pas l'engouement créé autour de sa sortie. C'est un film à voir, mais peut-être pas à revoir.













mardi 16 août 2011

I saw the devil

J'adore les films de serial killers. C'est un peu ce qui m'a attiré à voir I saw the devil, version anglaise de Akmareul Boatda, un drame de vengence coréen atrocement violent et sanglant. L'histoire est simple, la fiancée d'un agent secret est froidement assassinée et celui-ci décide de retracer l'auteur du meurtre et de le faire souffrir. On assiste à un jeu de chat et de souris entre l'amant et le meurtrier qui donne place à des affrontements épiques et très, très violents.

Le scénario fait un peu penser aux 7 Jours du Talion, sauf que les personnages de Patrick Sénécal finissent toujours par revenir du bon côté de la force, contrairement au ''héros'' ici, qui sombrera de plus en plus dans l'ombre pour devenir comme sa victime et voir le diable, en lui-même.

Byung-Hun Lee  qui a joué dans G.I Joe: The Rise of The Cobra et qui apparaîtra aussi dans la suite attendue en 2012, campe le rôle de Soo-Hyeon, qui, malgré la perte de la femme de sa vie, a le regard froid et dur. Il est méthodique et cruel. Il ne prend pas plaisir à torturer sa victime. Il devient un monstre conscient de ses actes.

Min-Sik Choi incarne pour sa part le démentiel tueur en série qui est traqué tout au long du film. Il nous avait déjà démontré dans Old Boy son potentiel d'acteur, mais il se surpasse cette fois-ci. Son jeu déstabilise et nous marque profondément. Il nous fait comprendre à quel point Kyung-Chul est tordu et on aime le détester. Malgré qu'il devient une victime, on n'arrive pas à avoir pitié de lui. Il est trop terrible.

I saw the Devil est un film difficile à voir. Les scènes de violence sont lourdes à soutenir. Je me suis surprise à me tortiller sur mon siège, moi qui est adepte du gore et de la violence gratuite. On ressent tout au long de cet oeuvre de 140 minutes une tension palpable au point que souvent on retient son souffle pour savoir ce qui va arriver. C'est une épreuve physique et psychologique intense qui n'est pas destinée aux coeurs sensibles. Il y a effusions de sang, meurtres, dépeçage, battues, torture et cannibalisme. Je vous aurai prévenus. 

Les critiques disent que la facture visuelle du film est exceptionnelle, qu'on y retrouve des plans-séquence, des travellings circulaires, des plans panoramiques, mais j'étais tellement emportée par la tension palpable de l'oeuvre de Jee-woon Kim que je n'ai pas remarqué la réalisation. J'ai par contre remarqué que les effets spéciaux old-school avaient un effet vraiment brutal. Le doublage anglophone est vraiment pitoyable, je vous conseille donc de voir la version originale coréenne sous-titrée en anglais, si vous pouvez la trouver.

Ça m'a pris du temps pour mettre mes idées en ordre et arriver à faire une critique de I saw the Devil, parce que c'est un film dérangeant et qu'il m'a laissé une impression mitigée. J'ai aimé ça? Je ne le sais pas. Mais une chose est sûre, ça m'a marqué. Comme rarement un film m'a marqué dans les dernières années. À voir, si vous avez les trippes bien accrochées.