Métalleuse voulant souvent dire anti-conformiste, je suis répugnée à l'idée de voir un film très populaire ou de lire un best-seller. Juste pour ne pas faire comme tout le monde, je crois. J'ai maintenant transgressé ces deux règles puisque je viens de finir la lecture du Code Da Vinci, dont j'ai aussi vu la version cinématographique.

C'est l'histoire de Robert Langdon, célèbre professeur d'histoire des religions, qui est appelé sur une scène de crime par le chef de la Police Judiciaire de France, au musée du Louvre. C'est le conservateur du musée qui a été assassiné et qui a laissé des indices à Langdon et à sa petite fille, Sophie Neveu, pour découvrir le secret caché du Prieuré de Sion, le St-Graal. Il s'ensuit une longue quête, sous la forme d'une chasse aux trésors, pour découvrir ce secret. En trame de fond, meurtres et enquête policière.
J'ai trouvé intéressant les références historiques aux Franc-Maçons et aux Templiers, deux sujets qui m'intéressent particulièrement. Les références à l'art, notamment aux oeuvres de Leonardo Da Vinci, sont aussi intéressantes. Cependant, j'ai trouvé le récit peu crédible. D'ailleurs, de nombreux ouvrages ont été publiés pour dénoncer les irrégularités et les failles de ce roman. Aussi, le dénouement qui explique la source des meurtres perpétrés s'allonge sur trois chapitres, tant il est tiré par les cheveux. Cette oeuvre n'a rien à envier au Symbole Perdu et ne me donne pas envie de lire Anges et Démons, la suite des aventures de Robert Langdon qui a aussi été portée au grand écran.
Le thème principal du roman est la quête du St-Graal, qui contrairement à l'image de calice utilisé par Jésus pour la dernière Cène, serait en fait Marie Madeleine, apparemment femme de Jésus et mère de ses déscendants. Il base son argumentation sur une représentation de la Cène de Leonard Da Vinci sur laquelle on aperçoit apparemment Marie Madeleine aux côtés de Jésus. Les références multiples au féminin sacré et à la Déesse m'ont fait penser à l'archétype de la Déesse de Carl Gustav Jung. Ce secret du Graal serait si compromettant que l'Église Catholique ferait tout en son pouvoir pour qu'il reste secret. Je n'ai pas aimé cet aspect du roman, et la prépondérance des références religieuses m'ont vraiment emmerdé.
Généralement, les livres sont meilleurs que les films, mais ce n'est pas le cas pour le Code Da Vinci. Le film était nettement supérieur en terme de divertissement. Je ne conseille ce livre qu'aux passionnés d'histoire religieuse qui n'ont pas peur de l'absurdité et des références douteuses.
J'ai trouvé intéressant les références historiques aux Franc-Maçons et aux Templiers, deux sujets qui m'intéressent particulièrement. Les références à l'art, notamment aux oeuvres de Leonardo Da Vinci, sont aussi intéressantes. Cependant, j'ai trouvé le récit peu crédible. D'ailleurs, de nombreux ouvrages ont été publiés pour dénoncer les irrégularités et les failles de ce roman. Aussi, le dénouement qui explique la source des meurtres perpétrés s'allonge sur trois chapitres, tant il est tiré par les cheveux. Cette oeuvre n'a rien à envier au Symbole Perdu et ne me donne pas envie de lire Anges et Démons, la suite des aventures de Robert Langdon qui a aussi été portée au grand écran.
Le thème principal du roman est la quête du St-Graal, qui contrairement à l'image de calice utilisé par Jésus pour la dernière Cène, serait en fait Marie Madeleine, apparemment femme de Jésus et mère de ses déscendants. Il base son argumentation sur une représentation de la Cène de Leonard Da Vinci sur laquelle on aperçoit apparemment Marie Madeleine aux côtés de Jésus. Les références multiples au féminin sacré et à la Déesse m'ont fait penser à l'archétype de la Déesse de Carl Gustav Jung. Ce secret du Graal serait si compromettant que l'Église Catholique ferait tout en son pouvoir pour qu'il reste secret. Je n'ai pas aimé cet aspect du roman, et la prépondérance des références religieuses m'ont vraiment emmerdé.
Généralement, les livres sont meilleurs que les films, mais ce n'est pas le cas pour le Code Da Vinci. Le film était nettement supérieur en terme de divertissement. Je ne conseille ce livre qu'aux passionnés d'histoire religieuse qui n'ont pas peur de l'absurdité et des références douteuses.
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